
Les esquiver démasqués devront désormais fournir une preuve photographique qu’ils portent un masque couvrant leur visage avant de monter à bord d’un Uber.
L’entreprise basée à San Francisco a dévoilé mardi une nouvelle politique stipulant que si un conducteur signale à Uber qu’un passager ne portait pas de masque, il devra lui fournir un selfie avec une sangle la prochaine fois qu’il fera appel à une voiture sur le plus grand service de covoiturage du monde.
La règle de vérification des masques s’ajoute à une exigence similaire qu’Uber a imposée à ses conducteurs en mai dernier pour rassurer les passagers inquiets d’être exposés au nouveau coronavirus qui a bouleversé la société. Aujourd’hui, Uber pense qu’il est temps d’aider ses conducteurs à se sentir plus en sécurité.
Cette exigence sera mise en place aux États-Unis et au Canada dans le courant du mois avant de s’étendre à d’autres régions du monde.
Ces mesures de sécurité supplémentaires s’inscrivent dans le cadre des efforts continus déployés par Uber pour reconstruire un service qui a vu sa fréquentation chuter cette année. Les gens ont cherché à minimiser les risques de maladie et ont eu moins de raisons d’aller où que ce soit, avec des bureaux, des bars, des restaurants et des boîtes de nuit fermés dans la plupart des États-Unis et dans d’autres parties du monde.
Ces conditions défavorables ont fait chuter le nombre de voyages sur l’Uber au cours du dernier trimestre de 56 % par rapport à l’année précédente.
En ce 6 mai 2020, Luis Hidalgo, portant un masque facial, regarde Joel Rios installer une barrière en plastique dans sa voiture pour se protéger et protéger ses passagers du nouveau coronavirus dans le Bronx, à New York. Les tire-au-flanc masqués devront désormais fournir la preuve photographique qu’ils portent un masque facial avant de monter à bord d’un Uber. La société basée à San Francisco a dévoilé mardi 1er septembre une nouvelle politique qui stipule que si un conducteur signale à Uber qu’un passager ne portait pas de masque, il devra prendre un selfie avec un masque la prochaine fois qu’il convoquera un conducteur sur le plus grand service de transport de passagers au monde. (AP Photo/Seth Wenig)
Uber to require that passengers provide face-mask selfies
Mask slackers will now have to provide photographic proof they’re wearing a face covering before boarding an Uber.
The San Francisco-based company unveiled a new policy Tuesday stipulating that if a driver reports to Uber that a rider wasn’t wearing a mask, the rider will have to provide Uber with a selfie with one strapped on the next time they summon a car on the world’s largest ride-hailing service.
The mask verification rule expands upon a similar requirement that Uber imposed on its drivers in May to help reassure passengers worried about being exposed to the novel coronavirus that has upended society. Now, Uber believes it’s time to help make its drivers feel safer, too.
The requirement will roll out in the U.S. and Canada later this month before coming to other parts of the world.
The additional safety measures are part of Uber’s ongoing efforts to rebuild a service that has seen ridership plunge this year. People have been seeking to minimize the chances of becoming sick and and also have had fewer reasons to go anywhere, with offices, bars, restaurants and nightclubs closed through much of the U.S. and other parts of the world.
The adverse conditions caused the number of trips on Uber during its most recent quarter to plunge by 56% from the previous year.
In this May 6, 2020, file photo, Luis Hidalgo, wearing face mask, watches as Joel Rios installs a plastic barrier in his car to protect himself and his passengers from the new coronavirus in the Bronx borough of New York. Mask slackers will now have to provide photographic proof they’re wearing a face covering before boarding an Uber. The San Francisco-based company unveiled a new policy Tuesday, Sept. 1, stipulating that if a driver reports to Uber that a rider wasn’t wearing a mask, the rider will have to take a selfie with one strapped on the next time they summon a driver on the world’s largest ride-hailing service. (AP Photo/Seth Wenig)