Ice Watch soutient le défi ‘ScanPyramids’

Voir à travers les pyramides !

Qu’est’ce qui fait rêver toutes les générations, à travers le monde et ses cultures ? Le mystère et les secrets encore non résolus des pyramides de l’Ancienne Egypte. Pour Jean’Pierre Lutgen, fondateur et patron d’Ice’Watch, cette fascination ‘ aussi universelle que sa marque est internationale ‘ justifie amplement de rejoindre les mécènes d’une aventure défiant l’imagination. Il s’agit d’explorer, préserver, scanner, numériser, digitaliser en 3D l’intérieur des pyramides grâce aux hautes technologies les plus contemporaines et d’y trouver des structures internes inconnues à ce jour! Bref, voir à travers comme si elles étaient en verre. La mission ScanPyramids, veut changer le regard sur les pyramides millénaires. Change. You can : le sIogan Ice’Watch prédestinait la marque à devenir l’un de ses partenaires. Devrait’on dire, désormais Change. You scan ?

Partenaire de ScanPyramids La mission ScanPyramids qui réunit plus de 75 personnes et dirigée par le professeur Hany Helal de la faculté des ingénieurs de l’université du Caire et Mehdi Tayoubi expert en stratégie d’innovation, a été lancée en Octobre 2015. Leur devise : « Ce n’est pas parce qu’un mystère a plus de 4500 ans que l’on ne peut tenter de le résoudre ». En 2013, le duo fonde l’institut HIP (Heritage Innovation Preservation), association à but non’lucratif, avec l’intention de « passer l’Histoire au scanner des nouvelles technologies de visualisation, non invasives et non destructrices ». Assez vite, leur projet de voir à travers ses montagnes de pierre et notamment de la plus emblématique la Grande Pyramide de Kheops fédère des spécialistes d’horizons très différents. Des scientifiques canadiens réalisent une première série des mesures via la thermographie infrarouge. Déjà, un indice prometteur : une différence de température signale des anomalies laissant penser à l’existence d’un vide derrière les chevrons de la face Nord de Kheops. L’université japonaise de Nagoya déploie alors des émulsions sensibles aux muons : des particules cosmiques capables de traverser les pierres et de prouver l’existence d’un vide. Parmi les ‘explorateurs’, il y a aussi les scientifiques du CEA français(le Commissariat à l’Energie atomique et aux énergies alternative). Enfin, L’INRIA en France, les universités Laval au Québec, de Nagoya au Japon et le KEK japonais collaborent aussi à l’aventure… Mehdi Tayoubi, en plus des ingénieurs et scientifiques tenait aussi à faire participer des artistes : François Schuiten, le dessinateur belge passionné d’architectures anciennes, le peintre Alexandre Obolensky, le photographe Philippe Bourseiller et le musicien Nicolas Godin, cofondateur du groupe de musique électronique Air.  » Leur regard est important au sein d’une mission qui renoue avec ce qui a donné naissance à l’égyptologie au 19ème siècle, le croisement des disciplines et des regards. ».

L’aide de Ice Watch arrive à l’heure pile…

Début 2017, les autorités égyptiennes autorisent la prolongation des investigations initialement limitées à une année. La raison ? La localisation de deux cavités inconnues dans la Grande Pyramide : une découverte, d’ores et déjà, classée parmi les faits marquants de la science en 2016 ! Peut’être, le début d’un circuit démarrant derrière les chevrons et une cavité à 110m sur l’arête Nord’Est? La bonne nouvelle implique de chercher de nouveaux mécènes, car il nous faut à présent mieux comprendre la forme et les dimensions de cette cavité et en détecter de nouvelles » C’est souvent long et compliqué. En revanche, JeanEPierre Lutgen a accepté, tout de suite de nous aider !

Nous avions besoin d’un partenaire dynamique à un moment crucial. C’est très agréable de travailler avec lui. La marque Ice Watch correspond totalement à notre approche. Elle consiste, à la fois à reconnecter toute l’équipe à ses imaginaires d’enfants pour faire émerger l’innovation qu’elle soit archéologique, scientifique, artistique ou technique. . Il y a clairement un partage de valeurs « , confie Mehdi Tayoubi. En accompagnant l’équipe sur place en janvier, l’audacieux patron d’Ice’Watch y a retrouvé l’esprit qui pilote sa propre entreprise. Le sens du défi, l’optimisme, la volonté de changer de perspective et d’innover là où l’on pense que tout a été fait, l’émulation et le dialogue ouvert, bienveillant entre toutes les disciplines. Evidemment, l’énergie internationale de cette mission atypique n’est pas étrangère à la décision d’un homme dont les montres tictaquent dans plus de 75 pays. Faut’il préciser que les pyramides fascinent aussi Jean’Pierre Lutgen ?  » Des joyaux d’ingénierie aussi complexes que les mécanismes d’horlogerie ! « .

Ice Watch et ScanPyramids : les temps forts de la collaboration

La contribution d’Ice’Watch a permis d’étendre les opérations logistiques sur le terrain des télescopes du CEA qui ont pu ainsi confirmer de l’extérieur la présence d’un énorme vide au’dessus de la Grande Galerie. Cette découverte, baptisée ScanPyramids Big Void, a été publiée le 2 novembre 2017 dans la revue scientifique Nature. Ce vide d’une longueur minimum de 30m a été ainsi confirmé par les 3 équipes de muographie (Université de Nagoya, KEK Japon et CEA français).. Partenaire au même titre que la Fondation Dassault Systèmes, Suez ou Emissive, Ice’Watch participe à un challenge passionnant. Le plus important n’est pas dans la résolution de l’énigme mais dans le chemin que nous parcourons en équipe. L’impossible est possible les anciens égyptiens nous l’ont déjà prouvé en élevant ces montagnes. Il faut réactiver la machine à rêver, redonner l’envie de demain et le désir de voir les jeunes générations le réaliser.»

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